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avenue des lys de pluie
28 juillet 2009

Photo :




Photo : http://leprinceharrymevite.skyrock.com/2241962321-6.html



Je n’ai pas envie de me répéter, mais pour ceux qui ne me connaissent pas, il faut qu’ils sachent qu’une association raciste me harcèle, me poursuit et espionne tous mes faits et gestes. Samedi, un homme, après avoir lu cet article, m’a demandé une cigarette. Je venais de fumer la dernière rangée dans mon sac. Il a fait mine d’avoir une difficulté pour marcher. Après que j’ai répondu : " non, je n’en ai plus, désolée ", comme il s’agit d’une associations de malfaiteurs racistes ( dont les activités sont décrites en partie ici ), l'individu m’a demandé d’où j’étais. Ils faut savoir que ces personnes savent que j’ai tenté de me tuer et qu’elles comptent à nouveau sur mon suicide en me harcelant partout où je vais. Ils m’ont déjà agressé physiquement, en plus du harcèlement moral au quotidien. La police n’a rien fait. Je suis terrifiée par leur menace de mort permanente. Ils ne cessent de me répéter que je dois me suicider en perpétrant leur harcèlement et leurs agressions. Je suis terrifiée. Je vis recluse, apeurée. Je n'essaye pas de vous inquiéter, je tente seulement d'expliquer au mieux ce qui m'arrive et pourquoi ce sujet pénible revient sans arrêt. Ceux qui vivent ce genres de choses comprendrons. Je n'ai personnes à qui en parler, c'est un réel sentiment de détresse et de tristesse, même si j'essaye au mieux d'avoir l'air normal puisque je n'ai pas le choix, jusqu'à se qu'il cagnent et que j'en meurs.



Important : l’association à laquelle je pense n’est pas celle dont on voit la pub sur la photo.

J’ai choisi cette image afin d’associer trois horreurs dans le même bulletin, ça évite d’éparpiller les tristesses sur le blog. Je suis fatiguée des personnes qui en réalité se fichent totalement d’une cause et qui s’en servent uniquement pour faire du mal aux autres simplement parce que ces derniers sont différents sans être mauvais.

 

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24 juillet 2009

Cette semaine, j’étais au jardin publique, sur un



Cette semaine, j’étais au jardin publique, sur un petit sentier, entrain de fouiller dans mon sac pour trouver un bâton de baume pour les lèvres ( un geste assez anodin donc ), quand subitement, deux hommes sur des deux roues, ont bloqué le passage: l’un se plaça devant moi, l’autre dernier. Le premier m’a demandé ce qui m’arrivait. Cette question était très étrange vu que je ne le connaissais pas et que je cherchais seulement dans mon sac. J’ai tout de suite pensé que ces hommes voulaient m’agresser. J’ai répondu un peu mollement malgré l’angoisse :" Ben rien, je n’ai rien " . L’un d’eux a dit : " C’est la police ". Puis il y a eu un silence. J’attendais qu’ils continuent de parler pour m’expliquer clairement ce qui se passait. Ils ne disaient rien. Ils n’avaient pas d’uniformes, ni de brassards. J’ai donc demandé : "Pourquoi ? Que ce passe-t-il ? " Mais ils ne m’ont pas expliqué ce qu’ils voulaient, ils m’ont dit sèchement : " Rien, c’est la police, et on vous demande ce que vous avez. "

Avouez qu’ils sont étranges pour des policiers.


En 2004 ou en 2005, j’avais eu l’occasion de parler à des policiers, ils étaient en uniforme. Ils avaient salué et avaient expliqué pourquoi ils m’adressaient la parole : une femme avait vu quelques mètres plus loin, que des inconnus m'avaient frappé. J’étais donc entrain de pleurer. Les policiers ce jour là, ne m’avaient pas reproché d’être angoissée, puisque j’avais subi une grande peur, mon comportement leur a paru logique. Donc lorsque le 22 juillet 2009, je suis tombée sur ces deux hommes grossiers, je me suis posée des questions que j’ai évité de leur poser (à cause de la phobie sociale et également parce qu’ils étaient vraiment étranges ).


Ma première question fut :
_ "Est ce que ce sont de véritables policiers puisqu’ils ne ressemblent pas aux agents en uniformes que j’avais rencontré une première fois ? "
L’un d’eux a tout de même fini par sortir une plaque. Devant la plaque, j’avais envie de répondre à l’agent : "Mais monsieur je n’ais jamais vu de plaque d’agent de police, en revanche je connais les uniformes et vous vous n’en avez pas. De plus votre comportement est étrange. "
mais je n’ai rien dit parce que j’ai vu qu’ils étaient complètement dérangés à crier aussi fort, à ne pas clairement expliquer ce qu’ils voulaient et à coincer dans un parc une femme se baladant.


J’ai pensé également lors du silence suivant la phrase "C’est la police " :
_ "Ont -ils été appelés par quelqu’un qui sait que mercredi, j’ais demandé de l’aide ? "
j’ai très vite compris que non, puisque les policiers ne m’expliquaient absolument pas ce qu’ils me voulaient tout en étant agressifs.


Ils me disaient que j’avais l’air de quelqu’un qui n’avait pas la conscience tranquille. Ils me reprochaient donc un comportement qu’eux même cherchaient à provoquer en me terrifiant à crier comme cela et en ne répondant pas aux questions. J’ai déjà été agressée et je sais comment des types étranges s’y prennent. J'ai pensé :

"Un étrange flic est plus dangereux qu'un homme violent. "
L'angoisse était donc très forte.


Ils ont fini par dire "C’est pour un contrôle ". Je suis naïves parce que dans ma tête un contrôle concerne uniquement les véhicules, n’ayant jamais été contrôlée par la police, je ne savais pas ce qu’ils voulaient. Je suis restée interdite.


Il m’ont demandé mon sac et ce que j’y cherchais. J’ai donc du montrer le tube de rouge à lèvres hydratant et le petit miroir que j’avais dans les mains. Puis, alors que le premier cherchait en vain, on ne sait quoi, le second n’arrêtait pas de me dire méchamment : "Moi, si on me demandait un truc, je ne paniquerais pas. Quand je vois quelqu’un étrange, je lui pose des questions ..."
N’empêche qu’il était bizarre et qu’il ne répondait pas à mes questions qui étaient simples : "POURQUOI ? QUE SE PASSE-T-IL ? "


Je me suis posée également les questions suivantes :
_ "Vont-ils me violenter puisqu’ils sont agressifs comme l’ont été d’autres hommes auparavant ? "
_ " Vont-ils me demander quelque chose que je ne pourrai pas accomplir comme donner mon adresse par exemple ? "
Il m’est souvent arrivé d’oublier des choses comme par exemple mon numéro de téléphone, lors d’un entretien quelque il soit, surtout si celui-ci est angoissant. Il y a donc toujours rangé dans mon sac un petit papier où sont inscrits mes coordonnées, ceux de mes parents, une liste de choses à prendre ou à se souvenir lors d’un rendez-vous...


Ils étaient vraiment agressifs et bizarres, ils m’ont rappelé des agressions ayant eu lieu auparavant, j’avais donc très peur. Finalement vers la fin de l’entretien, je n’ai absolument pas su répondre normalement : j’ai commencé à raconter des choses un peu personnelles après qu’ils m’aient demandé si j’attendais des amis ...


Evidemment ils n’ont rien trouvé dans mon sac. Je suis rentrée chez moi en continuant de me poser tout un tas de questions ( j’ai toujours besoin d’une réponse lors d’ une angoisse : l’explication évite l’augmentation de l’anxiété ).


Ici je résume ce qui s’est passé, ils ont réellement insisté. Il n’y avait pas de gens pour témoigner. Après tout, je ne faisais rien de mal donc à par un délit de sale gueule, ils n’avaient aucune raison de me parler ainsi.


Les photos n’ont pas de lien avec cet incident parce qu’en fait je ne sais pas très bien comment construire l’article. J’ai pris des photos au fur et à mesure que les jours passaient sans prévoir réellement comment elles seraient publiées.
Je vous avoue que même si mes parents ont essayé d’être gentils après cela et que j’ai essayé de mon coté de sourire, je suis assez troublée.
Cet article n’aurait pas du exister. En fait je comptais reprendre le blog vers la mi-août mais là j’avais besoin de raconter cette histoire. Merci d’avoir lu le texte jusqu’au bout. Il était prévu de poster un article joyeux, représentant le bonheur de passer l’été prés de l’eau mais tout est gâché. Ils m’ont sacrément bien ramené à la triste réalité.

Grâce à la naïveté, je ne désespère pas d'envoyer un jour un article plus joyeux.

R: La définition de la phobie sociale ( ou anxiété sociale ) publiée sur le site fr.wikipedia.org/wiki/Phobie_sociale, comporte une erreur :
les personnes subissant la phobie ( ou anxiété ) sociale ne sont pas toutes alcooliques ou des droguées hors la loi.


( Google a très mal traduit ce texte, il a donc fallu remplacer le mot " bizarre " par "étrange". Il a fallu également modifier des phrases qui en français semblent maladroites mais qui sont plus faciles à traduire. J’espère que ça suffira. )

6 juillet 2009

Il n’y aura plus d’article pendant un petit moment. J’vous enverrai des cartes postales.


Ma main a touché le sommet du palmier ! J’ai beaucoup grandi.


Puis j’ai rétréci.

 

Aucun jouet ne fut maltraité lorsqu’il fut photographié pour ce blog.
En réalité ces objets ne sont pas omniprésents dans l’appartement. Comme beaucoup de bons souvenirs, ils sont rangés dans des boîtes, elles-mêmes rangées dans un placard.

 

 

Dimanche le ciel était d’un beau bleu. Tout le monde semblait fondre à cause du soleil de plomb. La chaleur a modifié notre façon de nous mouvoir ainsi que ma vision : des corps allaient au ralenti tant dit que d’autres _ alors que moi même j’étais " fichée dans la lenteur "_ me semblaient bouger en accéléré comme lorsqu’on visionne un vieux film muet.
( Un petit secret entre nous : cher journal ne te fies pas toujours à la beauté des paysages montrés sur ce blog, une partie des images furent prisent dans une ville insalubre. )

 


Ci-dessous une photo d’un jet d’eau prise lors de la recherche d’un arc en ciel.


Tristesse


La phrase ci-dessus est extraite du magazine
Photobucket
été 2009.
Il est rare de voir ce magazine à la maison. Le dernier fut acheté en 2007.


Douceur





Ce parfum m’incommode lorsque qu’il est sur ma peau. A présent il désodorise la salle de bain. ( Ca va faire environ 8 ans maintenant que je reste fidèle au n°5. )


En photo ci-dessous des "top-models" habitués du magazine
Photobucket.

 


Translation
On the left page :
"dream"
" Some day my prince will come..."

On the right page :
"reality"
Voila ! There he is .



Petits personnages trouvés sur chokobi123.jugem.jp

PS : Mille pardons pour cette traduction minable. Je suis sincèrement désolée. Si quelqu’un de REELLEMENT aimable pouvait m’aider ce serait très apprécié. Merci.

Re PS : Cette semaine, des photos prises ce mois ci sont mélangées avec des images datant du mois de mai et du mois d’avril tout simplement parce que le mélange de ces photographies racontent bien ce que je désirais montrer.
avenue des lys de pluie
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