Cher journal,

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Le petit cheval en photographie ci-dessus, se trouvait sur le chemin menant à l’appartement de mes parents.

Non, je n’habite pas cette ville où la nuit sont abandonnés et mis dehors des jouets.

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Le cheval à bascule a eu un mouvement de recul lorsqu’il m’a vu avancer pour l’embrasser.

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Bientôt ce sera en quelque sorte l’anniversaire du blog. En observant bien le site, on se rend compte que rien n’a changé. :(

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Un pot de confiture était à peine rempli et je me suis souvenue qu’il était bon d’y ajouter du yaourt et de manger à même le pot. Ca faisait longtemps que je n’avais pas goûté ce petit plaisir.

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Cher journal, tu ne comprendrais jamais à quel point je déteste les mensonges, par exemple, même lorsqu’il s’agit de faire une sympathique surprise à quelqu’un, ceux-ci me mettent toujours mal à l’aise.

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Au sujet d’un décès, comment réussit-on à transmettre de la chaleur humaine à ceux qui restent ? Lorsqu’on est maladroit, ne vaut-il pas mieux se taire afin d’éviter d’heurter la famille ou doit–on tout de même parler pour ne pas être froid ? Les cas doivent varier.

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Dimanche ma mère m’a fait cadeau d’une petite figurine représentant un père noël jovial et je me suis offerte des barrettes en forme de papillons. Elles ressemblent à des bijoux. Cette ressemblance est intéressante parce qu’à mon âge on ne peut pas toujours porter des papillons tant ils rappellent l’enfance. ( On peut observer un des papillons dans mes cheveux sur la septième photographie. Peut-être vaudrait-il mieux agencer les barrettes d’une façon totalement différente. )

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La semaine dernière, les toutes premières décorations de noël sont apparues dans un centre ville. Alors que leur installation n’était pas encore achevée, je les photographiais déjà.
Hier, les guirlandes commençaient à s’illuminer.
C’est étrange d’observer ces décorations évoquant le froid et la neige alors que les marques de l’automne me paraissent ressentes, peu nombreuses et qu’en plus il fait très doux pour la saison. Les fêtes de fin d’années me semblent donc éloignées.